Films Captain Jim (Cinématraque) Claire Lalaut Flavien Poncet Jonathan Deladerrière Justin Kwedi Elvire Rémand Romain Leclercq Maxime Bauer Thibaut Das Neves Victor Lopez
Death Death Row Family (L'Étrange Festival 2017)
Kobayashi Yûki
« C'est assez bordélique et Kobayashi a encore du mal à se détacher de ses influences et à se créer son propre style. Mais le jeune cinéaste est à surveiller ! »
De nos jours... (en salles le 19/07/2023)
Hong Sang-soo
« Pas forcément indispensable mais attachant dans sa petite musique habituelle. »
« Un nouvel Hong, sans choc. Subsistent, malgré tout, deux belles séquences : celle où Kim explique le métier d'actrice et celle, finale, où le vieux poète profite de sa solitude reconquise. »
« Plaisir simple de la vie que l'art minimaliste de Hong Sang-soo. »
De l'autre côté du ciel (en salles le 17/08/2022)
Hirota Yuusuke
« Je sais pas ce qui a pris à Studio 4°C de sortir un film avec une animation 3D aussi moche. Sinon, c'est correct vite fait, mais déjà vu mille fois. »
Days (en salles le 30/11/2022)
Tsai Ming-liang
« Tsai Ming-liang acte l'abandon de la narration pour une observation méditative du quotidien, de la solitude et du temps qui passe. Si on se laisse emporter, c'est assez magnifique. »
« Œuvre muséale, cette expérience plastique de Tsai touche au point limite de son cinéma, en explorant des zones formelles entre contemplation et ennui. »
« Le cinéma non-narratif de Tsai est maintenant pleinement abouti, charme nos yeux et nos cœurs à travers des plans censément ennuyeux. »
Dark Figure of Crime (FFCP 2018)
Kim Tae-gyun
« Cahier des charges rempli pour ce polar qu'on a déjà vu 10 fois, malheureusement. »
Dans un recoin de ce monde (en salles le 06/09/2017)
Katabuchi Sunao
« Raconter l'Histoire par la petite porte, en suivant le quotidien de familles impactées par les catastrophe mais se battant pour continuer à vivre normalement, et cela, tout en poésie, c'est aussi ça le cinéma. »
« Poignant et poétique. »
Dans un jardin qu'on dirait éternel (Kinotayo 2019)
Tatsushi Omori
« Le film épouse l'élégance de la cérémonie du thé mais en oublie la profondeur, malgré une performance émouvante (car dernière) de Kiki Kirin. »
« Une fable du quotidien qui énonce des choses simples avec une tonalité légère. Un joli au revoir à Kirin Kiki. »
Dans un jardin qu'on dirait éternel (en salles le 26/08/2020)
Tatsushi Omori
« Magnifique film qui sait rendre compte du temps qui passe et de l'importance des rites dans nos vies. On dit souvent que le cinéma à grand spectacle mérite d'être vu sur grand écran, mais c'est aussi le cas des œuvres réflexives comme celle-ci. »
« Le film épouse l'élégance de la cérémonie du thé mais en oublie la profondeur, malgré une performance émouvante (car dernière) de Kiki Kirin. »
« Belle ode à la poésie du quotidien, à la reposante et vivifiante cérémonie du thé. Merveilleux dernier rôle pour Kirin Kiki. »
« C'est surtout la durée du film qui semble éternelle. »
Crosscurrent (FCCF 2017)
Yang Chao
« Deux solutions pour apprécier ce film poétique et quasiment mystique : connaître la culture chinois sur le bout des doigts ou simplement se laisser porter par une mise en scène soignée, des images sublimes et un score envoûtant. »
Creepy (en salles le 14/06/2017)
Kurosawa Kiyoshi
« Un thriller glaçant où Kurosawa offre une variante virtuose de "Cure". »
« Totalement WTF, Creepy renoue avec les premières amours de Kurosawa. Un méchant ultra méchant et incroyable qui fait tenir tout le film. »
« Un peu théorique, pas toujours parfait au niveau de l'écriture, et d'une précision hallucinante dans la mise en scène, Creepy n'est peut-être pas un grand film, mais prouve que Kurosawa est un grand cinéaste. »
Court (En Instance) (en salles le 11/05/2016)
Chaitanya Tamhane
« Le système judiciaire indien est digne d'un roman kafkaïen. On rigole, on s'insurge mais parfois, on s'ennuie un peu, certaines scènes étant inutiles et le rythme parfois un peu mou. »
« Un film intelligent et parfois passionant qui dresse un portrait en coupe de la société indienne dans le cadre d'un film de procès, qui évite le manichéisme en donnant sa chance d'exister à tous ses personnages. »
Coups de feu dans la plaine des jarres (FICA 2015)
Somchit Phonsena et Pham Ky Nam
« Un vulgaire film de propagande rescapé de l'histoire du cinéma. Sa rareté n'en fait pas pour autant un bon film. »
Contes du hasard et autres fantaisies (en salles le 06/04/2022)
Hamaguchi Hamaguchi
« Comment c'est possible de transmettre autant d'érotisme et de passion avec si peu ? »
« À chaque œuvre, Hamaguchi creuse davantage sa réflexion sur l'humain et le langage avec autant de virtuosité que de sensibilité . C'est passionnant. »
« Diffracté, le cinéma de Hamaguchi se tend entre Rohmer, Hong Sang-soo et ses expériences narratives initiées depuis Senses. Varié (ou inégal, c'est selon), Hamaguchi entérine sa place singulière dans le cinéma japonais contemporain ! »
« Hamaguchi à son zénith Rohmerien. »
« Un 3e segment qui aurait mérité un film à lui tout seul et permet au spectateur de se sortir un peu de cette langueur. »
« Jeux de l’amour et du hasard par Hamaguchi qui rate de peu le sans-faute à cause d’un deuxième segment plus anecdotique, mais se rattrape avec un troisième qui par sa richesse narrative et émotionnelle aurait mérité un film entier. »
« Une extraordinaire 3e partie, qui est peut-être ce qu'Hamaguchi a signé de mieux, introduite par deux segments plus mineurs. »
Concrete Clouds (FICA 2014)
Lee Chatametikook
« De bonnes idées diluées dans un film très cerébral qui se révérait plus organique. »
Comme un lundi (en salles le 08/05/2024)
Takebayashi Ryo
« Variation amusante du jour sans fin qui fonctionne parce qu'il est très (hélas) facile de se projeter... »
« Une variation de la boucle temporelle aussi euphorique et drôle, sans aucune prétention que divertir sur le sujet de l’épuisement au travail japonais. »
« S’il ne renouvèle pas la forme (déjà un peu redondante) de la boucle temporelle filmique, Comme un lundi est une bonne comédie inoffensive qui arrachera forcément quelques rires. »
Coming Home (en salles le 17/12/2014)
Zhang Yimou
« Malgré la beauté du visage de Gong Li, dans lequel on perçoit l'émotion certaine de Zhang Yimou dans la manière de le filmer, l'ensemble est d'un académisme plombant. »
Coming Home (Cannes 2014)
Zhang Yimou
« Mignon, mais d'un académisme souvent plombant. »
Come On Irene (Kinotayo 2019)
Yoshida Keisuke
« Ca commençait pas mal pourtant et puis ça s'enlise dans un foutoir pas possible. »
« Un récit qui ne peut s'empêcher d'enchaîner les séquences gênantes. »
Collective Invention (FFCP 2016)
Kwon Oh-kwang
« Une première partie bien amenée, drôle et très satyrique sur la société coréenne. La deuxième partie est bien plus faible et oublie son propos initial. Les acteurs, assez mal dirigés, plombent un peu le film. »
« Une satire sociétale en forme de poisson d'avril. Amusant et engagé : on mord à l'hameçon ! »
Close-Knit (Kinotayo)
Ogigami Naoko
« L'intérêt du film tient davantage au sujet traité qu'à la réalisation. Mais les acteurs très touchants. Mignon. »
« Un film gentillet et assez inoffensif sur la transsexualité, qui a plus le mérite de poser un regard sociologique progressiste sur l'évolution de la famille au Japon qu'un véritable regard cinématographique. »

Astuce : survolez la note d'un critique pour voir son commentaire personnel sur le film.

Films Captain Jim (Cinématraque) Claire Lalaut Flavien Poncet Jonathan Deladerrière Justin Kwedi Elvire Rémand Romain Leclercq Maxime Bauer Thibaut Das Neves Victor Lopez
Death Death Row Family (L'Étrange Festival 2017)
Kobayashi Yûki
« C'est assez bordélique et Kobayashi a encore du mal à se détacher de ses influences et à se créer son propre style. Mais le jeune cinéaste est à surveiller ! »
De nos jours... (en salles le 19/07/2023)
Hong Sang-soo
« Pas forcément indispensable mais attachant dans sa petite musique habituelle. »
« Un nouvel Hong, sans choc. Subsistent, malgré tout, deux belles séquences : celle où Kim explique le métier d'actrice et celle, finale, où le vieux poète profite de sa solitude reconquise. »
« Plaisir simple de la vie que l'art minimaliste de Hong Sang-soo. »
De l'autre côté du ciel (en salles le 17/08/2022)
Hirota Yuusuke
« Je sais pas ce qui a pris à Studio 4°C de sortir un film avec une animation 3D aussi moche. Sinon, c'est correct vite fait, mais déjà vu mille fois. »
Days (en salles le 30/11/2022)
Tsai Ming-liang
« Tsai Ming-liang acte l'abandon de la narration pour une observation méditative du quotidien, de la solitude et du temps qui passe. Si on se laisse emporter, c'est assez magnifique. »
« Œuvre muséale, cette expérience plastique de Tsai touche au point limite de son cinéma, en explorant des zones formelles entre contemplation et ennui. »
« Le cinéma non-narratif de Tsai est maintenant pleinement abouti, charme nos yeux et nos cœurs à travers des plans censément ennuyeux. »
Dark Figure of Crime (FFCP 2018)
Kim Tae-gyun
« Cahier des charges rempli pour ce polar qu'on a déjà vu 10 fois, malheureusement. »
Dans un recoin de ce monde (en salles le 06/09/2017)
Katabuchi Sunao
« Raconter l'Histoire par la petite porte, en suivant le quotidien de familles impactées par les catastrophe mais se battant pour continuer à vivre normalement, et cela, tout en poésie, c'est aussi ça le cinéma. »
« Poignant et poétique. »
Dans un jardin qu'on dirait éternel (Kinotayo 2019)
Tatsushi Omori
« Le film épouse l'élégance de la cérémonie du thé mais en oublie la profondeur, malgré une performance émouvante (car dernière) de Kiki Kirin. »
« Une fable du quotidien qui énonce des choses simples avec une tonalité légère. Un joli au revoir à Kirin Kiki. »
Dans un jardin qu'on dirait éternel (en salles le 26/08/2020)
Tatsushi Omori
« Magnifique film qui sait rendre compte du temps qui passe et de l'importance des rites dans nos vies. On dit souvent que le cinéma à grand spectacle mérite d'être vu sur grand écran, mais c'est aussi le cas des œuvres réflexives comme celle-ci. »
« Le film épouse l'élégance de la cérémonie du thé mais en oublie la profondeur, malgré une performance émouvante (car dernière) de Kiki Kirin. »
« Belle ode à la poésie du quotidien, à la reposante et vivifiante cérémonie du thé. Merveilleux dernier rôle pour Kirin Kiki. »
« C'est surtout la durée du film qui semble éternelle. »
Crosscurrent (FCCF 2017)
Yang Chao
« Deux solutions pour apprécier ce film poétique et quasiment mystique : connaître la culture chinois sur le bout des doigts ou simplement se laisser porter par une mise en scène soignée, des images sublimes et un score envoûtant. »
Creepy (en salles le 14/06/2017)
Kurosawa Kiyoshi
« Un thriller glaçant où Kurosawa offre une variante virtuose de "Cure". »
« Totalement WTF, Creepy renoue avec les premières amours de Kurosawa. Un méchant ultra méchant et incroyable qui fait tenir tout le film. »
« Un peu théorique, pas toujours parfait au niveau de l'écriture, et d'une précision hallucinante dans la mise en scène, Creepy n'est peut-être pas un grand film, mais prouve que Kurosawa est un grand cinéaste. »
Court (En Instance) (en salles le 11/05/2016)
Chaitanya Tamhane
« Le système judiciaire indien est digne d'un roman kafkaïen. On rigole, on s'insurge mais parfois, on s'ennuie un peu, certaines scènes étant inutiles et le rythme parfois un peu mou. »
« Un film intelligent et parfois passionant qui dresse un portrait en coupe de la société indienne dans le cadre d'un film de procès, qui évite le manichéisme en donnant sa chance d'exister à tous ses personnages. »
Coups de feu dans la plaine des jarres (FICA 2015)
Somchit Phonsena et Pham Ky Nam
« Un vulgaire film de propagande rescapé de l'histoire du cinéma. Sa rareté n'en fait pas pour autant un bon film. »
Contes du hasard et autres fantaisies (en salles le 06/04/2022)
Hamaguchi Hamaguchi
« Comment c'est possible de transmettre autant d'érotisme et de passion avec si peu ? »
« À chaque œuvre, Hamaguchi creuse davantage sa réflexion sur l'humain et le langage avec autant de virtuosité que de sensibilité . C'est passionnant. »
« Diffracté, le cinéma de Hamaguchi se tend entre Rohmer, Hong Sang-soo et ses expériences narratives initiées depuis Senses. Varié (ou inégal, c'est selon), Hamaguchi entérine sa place singulière dans le cinéma japonais contemporain ! »
« Hamaguchi à son zénith Rohmerien. »
« Un 3e segment qui aurait mérité un film à lui tout seul et permet au spectateur de se sortir un peu de cette langueur. »
« Jeux de l’amour et du hasard par Hamaguchi qui rate de peu le sans-faute à cause d’un deuxième segment plus anecdotique, mais se rattrape avec un troisième qui par sa richesse narrative et émotionnelle aurait mérité un film entier. »
« Une extraordinaire 3e partie, qui est peut-être ce qu'Hamaguchi a signé de mieux, introduite par deux segments plus mineurs. »
Concrete Clouds (FICA 2014)
Lee Chatametikook
« De bonnes idées diluées dans un film très cerébral qui se révérait plus organique. »
Comme un lundi (en salles le 08/05/2024)
Takebayashi Ryo
« Variation amusante du jour sans fin qui fonctionne parce qu'il est très (hélas) facile de se projeter... »
« Une variation de la boucle temporelle aussi euphorique et drôle, sans aucune prétention que divertir sur le sujet de l’épuisement au travail japonais. »
« S’il ne renouvèle pas la forme (déjà un peu redondante) de la boucle temporelle filmique, Comme un lundi est une bonne comédie inoffensive qui arrachera forcément quelques rires. »
Coming Home (en salles le 17/12/2014)
Zhang Yimou
« Malgré la beauté du visage de Gong Li, dans lequel on perçoit l'émotion certaine de Zhang Yimou dans la manière de le filmer, l'ensemble est d'un académisme plombant. »
Coming Home (Cannes 2014)
Zhang Yimou
« Mignon, mais d'un académisme souvent plombant. »
Come On Irene (Kinotayo 2019)
Yoshida Keisuke
« Ca commençait pas mal pourtant et puis ça s'enlise dans un foutoir pas possible. »
« Un récit qui ne peut s'empêcher d'enchaîner les séquences gênantes. »
Collective Invention (FFCP 2016)
Kwon Oh-kwang
« Une première partie bien amenée, drôle et très satyrique sur la société coréenne. La deuxième partie est bien plus faible et oublie son propos initial. Les acteurs, assez mal dirigés, plombent un peu le film. »
« Une satire sociétale en forme de poisson d'avril. Amusant et engagé : on mord à l'hameçon ! »
Close-Knit (Kinotayo)
Ogigami Naoko
« L'intérêt du film tient davantage au sujet traité qu'à la réalisation. Mais les acteurs très touchants. Mignon. »
« Un film gentillet et assez inoffensif sur la transsexualité, qui a plus le mérite de poser un regard sociologique progressiste sur l'évolution de la famille au Japon qu'un véritable regard cinématographique. »

Astuce : survolez la note d'un critique pour voir son commentaire personnel sur le film.

Tableau des Etoiles

Films Captain Jim (Cinématraque) Claire Lalaut Flavien Poncet Jonathan Deladerrière Justin Kwedi Elvire Rémand Romain Leclercq Maxime Bauer Thibaut Das Neves Victor Lopez
Death Death Row Family (L'Étrange Festival 2017)
Kobayashi Yûki
« C'est assez bordélique et Kobayashi a encore du mal à se détacher de ses influences et à se créer son propre style. Mais le jeune cinéaste est à surveiller ! »
De nos jours... (en salles le 19/07/2023)
Hong Sang-soo
« Pas forcément indispensable mais attachant dans sa petite musique habituelle. »
« Un nouvel Hong, sans choc. Subsistent, malgré tout, deux belles séquences : celle où Kim explique le métier d'actrice et celle, finale, où le vieux poète profite de sa solitude reconquise. »
« Plaisir simple de la vie que l'art minimaliste de Hong Sang-soo. »
De l'autre côté du ciel (en salles le 17/08/2022)
Hirota Yuusuke
« Je sais pas ce qui a pris à Studio 4°C de sortir un film avec une animation 3D aussi moche. Sinon, c'est correct vite fait, mais déjà vu mille fois. »
Days (en salles le 30/11/2022)
Tsai Ming-liang
« Tsai Ming-liang acte l'abandon de la narration pour une observation méditative du quotidien, de la solitude et du temps qui passe. Si on se laisse emporter, c'est assez magnifique. »
« Œuvre muséale, cette expérience plastique de Tsai touche au point limite de son cinéma, en explorant des zones formelles entre contemplation et ennui. »
« Le cinéma non-narratif de Tsai est maintenant pleinement abouti, charme nos yeux et nos cœurs à travers des plans censément ennuyeux. »
Dark Figure of Crime (FFCP 2018)
Kim Tae-gyun
« Cahier des charges rempli pour ce polar qu'on a déjà vu 10 fois, malheureusement. »
Dans un recoin de ce monde (en salles le 06/09/2017)
Katabuchi Sunao
« Raconter l'Histoire par la petite porte, en suivant le quotidien de familles impactées par les catastrophe mais se battant pour continuer à vivre normalement, et cela, tout en poésie, c'est aussi ça le cinéma. »
« Poignant et poétique. »
Dans un jardin qu'on dirait éternel (Kinotayo 2019)
Tatsushi Omori
« Le film épouse l'élégance de la cérémonie du thé mais en oublie la profondeur, malgré une performance émouvante (car dernière) de Kiki Kirin. »
« Une fable du quotidien qui énonce des choses simples avec une tonalité légère. Un joli au revoir à Kirin Kiki. »
Dans un jardin qu'on dirait éternel (en salles le 26/08/2020)
Tatsushi Omori
« Magnifique film qui sait rendre compte du temps qui passe et de l'importance des rites dans nos vies. On dit souvent que le cinéma à grand spectacle mérite d'être vu sur grand écran, mais c'est aussi le cas des œuvres réflexives comme celle-ci. »
« Le film épouse l'élégance de la cérémonie du thé mais en oublie la profondeur, malgré une performance émouvante (car dernière) de Kiki Kirin. »
« Belle ode à la poésie du quotidien, à la reposante et vivifiante cérémonie du thé. Merveilleux dernier rôle pour Kirin Kiki. »
« C'est surtout la durée du film qui semble éternelle. »
Crosscurrent (FCCF 2017)
Yang Chao
« Deux solutions pour apprécier ce film poétique et quasiment mystique : connaître la culture chinois sur le bout des doigts ou simplement se laisser porter par une mise en scène soignée, des images sublimes et un score envoûtant. »
Creepy (en salles le 14/06/2017)
Kurosawa Kiyoshi
« Un thriller glaçant où Kurosawa offre une variante virtuose de "Cure". »
« Totalement WTF, Creepy renoue avec les premières amours de Kurosawa. Un méchant ultra méchant et incroyable qui fait tenir tout le film. »
« Un peu théorique, pas toujours parfait au niveau de l'écriture, et d'une précision hallucinante dans la mise en scène, Creepy n'est peut-être pas un grand film, mais prouve que Kurosawa est un grand cinéaste. »
Court (En Instance) (en salles le 11/05/2016)
Chaitanya Tamhane
« Le système judiciaire indien est digne d'un roman kafkaïen. On rigole, on s'insurge mais parfois, on s'ennuie un peu, certaines scènes étant inutiles et le rythme parfois un peu mou. »
« Un film intelligent et parfois passionant qui dresse un portrait en coupe de la société indienne dans le cadre d'un film de procès, qui évite le manichéisme en donnant sa chance d'exister à tous ses personnages. »
Coups de feu dans la plaine des jarres (FICA 2015)
Somchit Phonsena et Pham Ky Nam
« Un vulgaire film de propagande rescapé de l'histoire du cinéma. Sa rareté n'en fait pas pour autant un bon film. »
Contes du hasard et autres fantaisies (en salles le 06/04/2022)
Hamaguchi Hamaguchi
« Comment c'est possible de transmettre autant d'érotisme et de passion avec si peu ? »
« À chaque œuvre, Hamaguchi creuse davantage sa réflexion sur l'humain et le langage avec autant de virtuosité que de sensibilité . C'est passionnant. »
« Diffracté, le cinéma de Hamaguchi se tend entre Rohmer, Hong Sang-soo et ses expériences narratives initiées depuis Senses. Varié (ou inégal, c'est selon), Hamaguchi entérine sa place singulière dans le cinéma japonais contemporain ! »
« Hamaguchi à son zénith Rohmerien. »
« Un 3e segment qui aurait mérité un film à lui tout seul et permet au spectateur de se sortir un peu de cette langueur. »
« Jeux de l’amour et du hasard par Hamaguchi qui rate de peu le sans-faute à cause d’un deuxième segment plus anecdotique, mais se rattrape avec un troisième qui par sa richesse narrative et émotionnelle aurait mérité un film entier. »
« Une extraordinaire 3e partie, qui est peut-être ce qu'Hamaguchi a signé de mieux, introduite par deux segments plus mineurs. »
Concrete Clouds (FICA 2014)
Lee Chatametikook
« De bonnes idées diluées dans un film très cerébral qui se révérait plus organique. »
Comme un lundi (en salles le 08/05/2024)
Takebayashi Ryo
« Variation amusante du jour sans fin qui fonctionne parce qu'il est très (hélas) facile de se projeter... »
« Une variation de la boucle temporelle aussi euphorique et drôle, sans aucune prétention que divertir sur le sujet de l’épuisement au travail japonais. »
« S’il ne renouvèle pas la forme (déjà un peu redondante) de la boucle temporelle filmique, Comme un lundi est une bonne comédie inoffensive qui arrachera forcément quelques rires. »
Coming Home (en salles le 17/12/2014)
Zhang Yimou
« Malgré la beauté du visage de Gong Li, dans lequel on perçoit l'émotion certaine de Zhang Yimou dans la manière de le filmer, l'ensemble est d'un académisme plombant. »
Coming Home (Cannes 2014)
Zhang Yimou
« Mignon, mais d'un académisme souvent plombant. »
Come On Irene (Kinotayo 2019)
Yoshida Keisuke
« Ca commençait pas mal pourtant et puis ça s'enlise dans un foutoir pas possible. »
« Un récit qui ne peut s'empêcher d'enchaîner les séquences gênantes. »
Collective Invention (FFCP 2016)
Kwon Oh-kwang
« Une première partie bien amenée, drôle et très satyrique sur la société coréenne. La deuxième partie est bien plus faible et oublie son propos initial. Les acteurs, assez mal dirigés, plombent un peu le film. »
« Une satire sociétale en forme de poisson d'avril. Amusant et engagé : on mord à l'hameçon ! »
Close-Knit (Kinotayo)
Ogigami Naoko
« L'intérêt du film tient davantage au sujet traité qu'à la réalisation. Mais les acteurs très touchants. Mignon. »
« Un film gentillet et assez inoffensif sur la transsexualité, qui a plus le mérite de poser un regard sociologique progressiste sur l'évolution de la famille au Japon qu'un véritable regard cinématographique. »
  • : pas de note
  • : mauvais
  • : moyen
  • : bon
  • : très bon
  • : excellent
  • : chef-d'Oeuvre

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